Les personnages dickiens sont d’authentiques et purs révoltés. Révoltés contre ces cieux aveugles et obscurs qui ne veulent rien
entendre!
Le maître du haut château, Substance mort, sont par exemple des romans où l’on croise des personnages confrontés à l’absurdité d’un monde opaque où l’on souffre et meurt sans raison et sans que cela puisse trouver nulle part une quelconque justification! Et donc qui n’offre comme seul et unique refuge (l’attitude nihiliste) la mort voire la folie (l’écriture, pour certains). Mais aussi, et cela est très présent chez K.Dick, la fiction, le jeu, les paradis artificiels ! (Voir les fameuses Poupées pat de la nouvelle du même nom éponyme…). Et l’alcool, bien sûr, ce divin breuvage, promesse d’ivresse, de beauté et d’éternité, comme le chantait si bien Baudelaire !
Le maître du haut château, Substance mort, sont par exemple des romans où l’on croise des personnages confrontés à l’absurdité d’un monde opaque où l’on souffre et meurt sans raison et sans que cela puisse trouver nulle part une quelconque justification! Et donc qui n’offre comme seul et unique refuge (l’attitude nihiliste) la mort voire la folie (l’écriture, pour certains). Mais aussi, et cela est très présent chez K.Dick, la fiction, le jeu, les paradis artificiels ! (Voir les fameuses Poupées pat de la nouvelle du même nom éponyme…). Et l’alcool, bien sûr, ce divin breuvage, promesse d’ivresse, de beauté et d’éternité, comme le chantait si bien Baudelaire !
D’autres auteurs, d’autres bâtisseurs d’univers, d’autres visionnaires : F.
Herbert, bien sûr, dont le terrible Dune, roman gigantesque,
phénoménal dont les héros figurent des surhommes à la stature divine (l’Homme y
remplaçant le dieu déchu… thème très contemporain, donc !).